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Burn Out
 

Depuis le temps que je marche

J’aurais dû savoir où je vais

Ici, tout se paye cash

Chaque seconde est imposée

 

La semaine, je porte un masque

J’accélère toute la journée

Dans cette course sans casque

Les bonnes manières sont excusées

 

Pour s’échapper d’ici, sans se retourner

Allumer un incendie et tout recommencer

 

Je m’enfonce à l’intérieur

Mais pas assez pour me noyer

Dans les mers sombres de ma douleur

La nuit, j’oublie de respirer

 

Je peux renaître sur les cendres

D’un instinct vite étouffé

Je m’épuise à me défendre

Pour savoir enfin où aller

 

Et m’échapper d’ici, sans me retourner

Allumer un incendie et tout recommencer

 

Quand mon sang bouillonne

J’entends vibrer comme un compte à rebours, un compte à rebours

 

Et m’échapper d’ici, sans se retourner

Allumer un incendie, et tout recommencer

Sur tes lèvres
 

Je n’entends plus personne

Quand je devine que tes yeux

Lancent un appel qui résonne

Dans mon corps silencieux

 

Mon regard se perd

Accroché sur tes lèvres

Nos mains font l’inventaire

D’un trésor disparu

 

Mon esprit m’abandonne

Ma bouche est comme suspendue

Devant ta peau qui frissonne

D’avoir tant attendue

 

Mon regard se perd

Accroché sur tes lèvres

Nos mains font l’inventaire

D’un trésor disparu

 

Les battements s’accélèrent

Le temps devient décousu

Quand ton souffle me porte

Vers la promesse d’un instant suspendu

 

Mon regard se perd

Accroché sur tes lèvres

Nos mains font l’inventaire

D’un trésor disparu

Tu regardes

Tu regardes les gouttes

La nuit s’installe tout doucement

Pendant que ton corps écoute

Comment les ombres dansent avec le vent

 

Devant toi, la ville ajoute

Des milliers de points incandescents

Tu regardes tes doutes

S’enraciner avec le temps

 

Pour te laisser emporter

Par le rythme des lumières

En volontaire naufragé

Juste entre ciel et terre

Et tu restes immobile

Devant ce tableau qui brille

 

Tes mots se perdent en route

Devant les pages de tes carnets brûlants

Tu sais ce qu’il t’en coûte

De découvrir ta voie patiemment

 

Pour te laisser emporter

Par le rythme des lumières

En volontaire naufragé

Juste entre ciel et terre

Et tu restes immobile

Devant ce tableau qui brille

J’ai besoin
 

J’ai besoin d’un verre ce soir

Laisser monter les bruits de la nuit

Lentement éteindre les phares

Sur une journée de sueurs et de cris

 

J’ai besoin d’un verre ce soir

Laisser tomber mes épaules engourdies

Respirer mon vertige et le boire

A la santé des serpents qu’on applaudit

 

Je prendrais bien un court frisson

Avec une pointe de sel surtout

M’abandonner, en ébullition

Pour m’enfoncer, redevenir un loup

 

J’ai besoin d’un autre regard

Qui m’ensorcelle après minuit

Un tourbillon glissant dans le noir

Un miroir pour garder l’envie

 

Je prendrais bien un court frisson

Avec une pointe de sel surtout

M’abandonner, en ébullition

Pour m’enfoncer, redevenir un loup

 

J’ai besoin d’un verre ce soir

Laisser monter les bruits de la nuit

Lentement éteindre les phares

Sur une journée de sueurs et de cris

 

Je prendrais bien un court frisson

Avec une pointe de sel surtout

M’abandonner, en ébullition

Pour m’enfoncer, redevenir un loup

Dans le noir
 

J’ai baissé mes yeux fragiles

Pour éviter les lueurs

Etouffé les mots inutiles

Puisqu’on raisonne à plusieurs

 

Devant des barrières invisibles, qui se dressent tous les matins

On voudrait garder l’équilibre et les illusions pour notre bien

Mais c’est sans fin

 

À force de regarder seulement des ombres

Assis dans le noir, la cage apparaît plus grande

Et si l’on s’évade, aspiré par la pénombre

Ébloui, mais condamné, personne ne veut comprendre

 

Les marques indélébiles

Que l’on porte à l’intérieur

Sont des désirs qui scintillent

Et ne s’effacent pas en douceur

 

Devant des barrières invisibles, qui se dressent tous les matins

On voudrait garder l’équilibre et les illusions pour notre bien

Mais c’est sans fin

 

À force de regarder seulement des ombres

Assis dans le noir, la cage apparaît plus grande

Et si l’on s’évade, aspiré par la pénombre

Ébloui, mais condamné, personne ne veut comprendre

Devant des barrières invisibles, qui se dressent tous les matins

On voudrait garder l’équilibre et les illusions pour notre bien

Mais c’est sans fin

 

À force de regarder seulement des ombres

Assis dans le noir, la cage apparaît plus grande

Et si l’on s’évade, aspiré par la pénombre

Ébloui, mais condamné, personne ne veut comprendre

Un peu de souffle
 

J’ai traversé une mer

Sans le temps de dire adieu

Ma voix résonne contre le fer

Et mes flammes se noient au bord des yeux

 

Déchiré l’âme de ma mère

Dans ce néant je reste honteux

Une odyssée le corps à l’envers

Et la grande porte rouge devient bleue

 

Mais il me reste un peu de souffle bien caché

Et je grave en moi des anciens chants de liberté

Il faudra du temps pour me retrouver

Surtout je n’oublie pas...

Que chaque histoire est un combat

 

S’avancer sur une autre terre

Perdu dans un commerce odieux

Un code noir s’imprime dans nos chairs

J’en tremble fort et j’enterre mes vœux

 

Affamé dans la poussière

J’aperçois bien tout ce feu

Brûler dans l’ombre d’une colère

Tapie sous les regards silencieux

 

Mais il me reste un peu de souffle bien caché

Et je grave en moi des anciens chants de liberté

Il faudra du temps pour me retrouver

Surtout je n’oublie pas...

Que chaque histoire est un combat

Demain
 

Demain, un autre jour se lève

Sur la Seine, le murmure d’une lumière

Caresse l’eau, s’éclaircit dans l’air

Et deux mains s’éveillent au bord des lèvres

 

Depuis que le monde n’ose plus s’arrêter

Pourvu que le vent gronde et souffle sa loi

Que l’ivresse emporte tout mais laisse de côté

L’espoir de s’imaginer tout au bout du chemin

 

Demain, un autre jour se lève

Suspendu, à l’encre de nos vœux

Les chaînes s’étendent, s’enveloppent de bleus

Et deux mains s’accrochent puis doucement s’enlèvent

 

Demain, un autre jour se lève

Dans une étreinte pour panser les maux

Vivre sans ailes c’est comme respirer dans l’eau

Et deux mains se posent puis se soulèvent

 

Depuis que le monde n’ose plus s’arrêter

Pourvu que le vent gronde et souffle sa loi

Que l’ivresse emporte tout mais laisse de côté

L’espoir de s’imaginer tout au bout du chemin

 

Demain dessine une inspiration

Qui nous illumine depuis l’horizon, depuis l’horizon, et depuis…

Demain, un autre jour se lève

© 2025 by LUCY. 


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